¡ LEGALIZACIÓN YA - NO MAS MULTAS - CULTIVA TUS DERECHOS - NO MAS PRESOS POR PLANTAR - LIBERTAD PARA MARIA!...
20 Años pidiendo el respeto de los derechos de los consumidores... decenas de miles de personas esperando la regularización del cultivo y consumo...
Aquí reunimos el conjunto de actividades que forman el Movimiento Social Cannábico Internacional.

CSC en Francia: policías y ladrones se lo ponen complicado

Les consommateurs et cultivateurs de marijuana réunis en "associations autogérées" doivent faire face à la recrudescences de vols à main armée et de descentes de police. 

"Il semblerait que nos récentes sorties médiatiques nous portent directement préjudice, explique les fondateurs des cannabis social clubs made in France. Il nous faut accuser le coup parce que les choses se compliquent sévèrement". Les cannabis social clubs, c'est un peu comme des clubs de bridge... À la différence – de taille – que les membres n'y jouent pas aux cartes mais récoltent et consomment de la marijuana. Une activité parfaitement illégale et passible, pour ses "sociétaires", de 30 ans de prison et 7,5 millions d’euros d’amende, le Code pénal punissant durement la production et la fabrication de stupéfiants en bande organisée.


Bras de fer 
Depuis quelques mois, un peu partout en France, des consommateurs réguliers de marijuana montent des coopératives pour planter et partager leur récolte, et ne plus dépendre ni alimenter l’économie souterraine. On en compte aujourd'hui entre 150 et 200, éparpillés sur tout le territoire. À l'échelon local, Saint-Étienne compte d'ailleurs l'un des plus gros cannabis social clubs de l'hexagone. La production de ces"associations autogérées de consommateurs d'herbe" représente 3 à 5 tonnes d’herbe par an. 
Parfaitement illégaux, ces cannabis social clubs et leurs 2 000 membres sont passibles de la cour d'assises. "On prend plus de risque quand on fait pousser un plant de cannabis pour sa consommation personnelle que quand on soutient l'économie souterraine, lorsqu'on va acheter de la résine ou de l'herbe dans la rue ! Nous entendons donc engager un bras de fer avec les autorités", expliquent Farid Ghehiouèche et Dominique Broc, les fondateurs du concept.

L'idée : se déclarer en préfecture d'ici janvier prochain, et semer la zizanie en relançant le débat – avorté - sur la dépénalisation/légalisation contrôlée du cannabis. Les services de police ont, semble-t-il, pris les devants. Plusieurs descentes ont d'ores et déjà eu lieu dans plusieurs cannabis social clubs. Sans compter les vols nocturnes sans violence et les braquages à main armée. La production annuelle d'herbe des cannabis social clubs représente entre 16 et 24 millions d'euros. 

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